Alors que le Maroc tout entier – institutions, partis politiques et société civile – célèbre avec fierté la reconnaissance historique par le Conseil de sécurité de la souveraineté marocaine sur le Sahara, le mouvement islamiste radical Al Adl wal Ihsane n’a pu dissimuler son mécontentement face à cette victoire nationale.
Dans une déclaration ambiguë, il affiche une joie à peine contenue, presque forcée, tout en glissant subtilement des commentaires qui trahissent son amertume et son agenda idéologique.
Sous couvert de félicitations ambiguës, cette organisation a repris sa rhétorique habituelle contre la normalisation, utilisant la cause palestinienne comme prétexte pour remettre en question les décisions souveraines du Royaume. Ce double discours, aussi opportuniste que calculé, reflète une volonté manifeste d’ingérence dans les affaires intérieures du pays et de détourner l’attention du consensus national autour du Sahara marocain.
Cette instrumentalisation constante de la cause palestinienne révèle la véritable nature d’Al Adl wal Ihsane : un mouvement qui rejette toute évolution sociopolitique et cherche à saper les fondements de la monarchie constitutionnelle. Sous une façade de piété et de solidarité, le mouvement dissimule un projet de rupture et de confrontation avec l’ordre établi.
Aujourd’hui, nul n’ignore les objectifs subversifs de ce mouvement, dont le discours anachronique trouve de moins en moins d’écho auprès de la jeunesse marocaine. Face à une nation unie autour de ses valeurs fondamentales, Al Adl wal Ihsane apparaît isolé, prisonnier d’un dogmatisme idéologique obsolète et d’une stratégie qui n’a plus sa place dans un Maroc moderne, sûr de lui et uni
