Après 14 mois d’enquêtes, la commission spéciale créée par le Parlement européen pour enquêter sur l’utilisation de Pegasus a admis dans un rapport final qu’il n’y avait aucune preuve pour prouver l’utilisation par le Maroc de ce programme contre des politiciens européens.
Après des années de diffamation et de création de crise, la commission chargée de l’enquête sur l’affaire Pegasus nous apprend que le Maroc pourrait être intéressé” ou “avoir intérêt” à espionner certains hommes politiques européens pour son propre compte.
Ils ont cherché la moindre preuve pendant 6 ans, et ils n’ont rien trouvé.
D’autre part, le rapport a condamné l’utilisation de Pegasus par l’Espagne, la Grèce, la Pologne et la Hongrie et a trouvé des preuves matérielles à son encontre.
Malgré cela, la justice européenne indépendante et impartiale refuse de se prononcer en faveur du Maroc dans toutes les affaires de diffamation qu’elle a intentées contre des citoyens ou des instances européennes.
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