Sur les attaques contre le DHSF. Déclaration

Admin19 سبتمبر 2020آخر تحديث :
Sur les attaques contre le DHSF. Déclaration

Buenos Aires, le 18 septembre 2020.
Par: Rosina Mediavilla T. DHSF Directrice exécutive
Human Rights Without Borders est une société indépendante chargée de résoudre le contenu de ses rapports, en respectant toujours le principe d’écouter toutes les parties et de confirmer chacune des informations qui nous sont transmises. Nous sommes convaincus que le résultat de notre travail peut ne pas plaire à ceux qui se sentent affectés, ce qui a signifié, dans un passé récent, des attaques du précédent rapport sur le Venezuela où il a été dit, en raison de la proximité d’un dirigeant opposé au président Maduro, Le DHSF en avait reçu des milliers de dollars pour rendre un avis favorable. Ce mensonge ne vaut même pas la peine d’être commenté.
En ce qui concerne le Sahara, on nous dit que nous sommes un organe de façade du Maroc, pour répandre des mensonges sur le Polisario. Aussi que le DHSF est dirigé par «un ancien collaborateur des services de renseignement de la dictature de Pinochet».

Dans les deux cas, avec une imitation grossière des condamnations staliniennes, il n’y a pas un seul déni des informations que nous fournissons. Seules les insultes et les disqualifications qui, dans leur contenu, reflètent la bassesse morale de ceux qui les émettent. Le DHSF dispose d’un conseil d’administration de 9 membres, tous liés, de différentes manières et depuis des années, à la défense des droits de l’homme, qui, en décembre de cette année, doivent se réunir pour décider de l’avenir de l’institution. Concernant les anciens collaborateurs de dictatures, il faut commencer par qui distribue des mensonges, car, en justifiant les exactions commises par le polisario, en plus des vols d’aide humanitaire et autres crimes, il les transforme en complices de ces crimes illicites, pour lesquels ils doivent aussi répondre devant la justice.

Les disqualifications personnelles ne nous atteignent pas parce que nous savons qui nous avons, comme c’est le cas de Juan Carlos Moraga Duque, Miguel Pizarro Olivares et d’autres qui, dans leur propre chair, ont subi des abus, comme le rapporte le rapport Valech sur les prisons politiques et la torture au Chili. , ce qui peut être vérifié sur internet et où n’apparaît pas M. Esteban Silva, pour qui la démocratie ne lui a pas coûté un rhume, mais cela l’a aidé pour ses voyages et pour profiter du nom respecté du président Allende, dont le directeur adjoint était le plus jeune fonctionnaire de son gouvernement, pour lequel il a récemment été interviewé par des stations de radio en Argentine, au Mexique, en Colombie et ailleurs, qui honore notre société. La stature morale de nos collaborateurs est très éloignée d’individus comme Silva qui, comme le dit un grand ami à nous, «n’a pas de principes, mais des clients». Comme au final tout est connu, il est déjà évident que Silva a chaque jour moins de soutien de Caracas et d’Alger. Les attaques contre le DHSF sont la réponse à notre attitude de rejet de la pression extérieure et de ne pas permettre des influences extérieures dans la rédaction de nos rapports, ce qui n’a jamais été démenti.

Encore une fois, nous remercions ceux du gouvernement argentin, ainsi que l’exemple des mères de la Plaza de Mayo, de nous avoir aidés à maintenir, malgré toutes sortes de pressions, l’engagement contracté avec ceux qui souffrent, dans le contexte desquels le rapports qui sont à l’origine de ces disqualifications, comme c’est le cas du Venezuela, du Maroc, de l’Algérie et du Sahara que nous avons émis.

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